Le seigle permet de rehausser le persillage de notre viande, de conserver ses jus et d’améliorer ses saveurs.

Nos sols vivent d’eux-mêmes grâce à un écosystème sain. Les microorganismes présents dans nos terres nourrissent la terre et permettent à nos cultures de pousser à foison, sans herbicide. Nos plus fidèles alliés ici sont les vers de terre, qui transportent les minéraux et permettent l’égouttement et l’aération de nos sols.

Un sol en santé et en vie est un sol prospère!

Aujourd’hui, nous replantons nos propres semences et nous laissons les sols effectuer leur travail. Nos grains ne contiennent pas de néonicotinoïde qui pourrait nuire aux insectes. Cela favorise la croissance de nos cultures, sans intervention chimique. La nature fait ainsi son œuvre, dans le respect de l’environnement.

Nous produisons aussi d’autres cultures (graminées et légumineuses) pour permettre à nos sols de se renouveler et d’être plus riches, grâce à une rotation calculée de nos cultures.

Le seigle, une céréale d’automne

Le Kamouraska est un territoire parfait pour la culture du seigle. La fraîcheur du climat du Bas Saint-Laurent est propice à cette céréale, de même que la composition de nos sols. Comprendre la nature et s’harmoniser à elle, voilà notre devise!

Le seigle en dormance, pour un sol plus vivant

La quantité de neige permet aux grains de tomber en dormance pour revenir en force au printemps. À l’hiver, le seigle a la capacité de couvrir les sols, préservant ainsi la vie souterraine en protégeant les microorganismes qui y vivent.

Chez Porc O’Rye, le cycle alimentaire débute par un sol riche et nutritif pour nos céréales

Encore une fois, la nature de notre territoire joue en notre faveur pour nous permettre de vivre d’une agriculture pérenne et durable.
Lorsque vous voyez la terre fumer au sol au printemps, cela est un très bon indicateur que la fraîcheur se libère. La nature nous indique alors que c’est le temps de semer les grains.

Une autonomie alimentaire qui commence ici
Porc O’Rye, c’est la détermination d’être autosuffisant dans notre production. Cultiver nous-mêmes l’alimentation de nos animaux nous permet d’avoir le contrôle sur la qualité de la viande.

Être maître chez soi

« Ma motivation est de permettre aux producteurs de retrouver leur indépendance et d’établir des liens directs avec leurs clients : c’est la force même d’une agriculture québécoise authentique. Pour y arriver, nous les aidons à améliorer leur production avec ce qu’ils ont déjà chez eux. »

– Stéphane Michaud